« Je ne veux pas laisser filer ce jour sans en donner le plus beau. Vous voyez le monde. Vous le voyez comme moi. Ce n’est qu’un champ de bataille. Des cavaliers noirs partout. Un bruit d’épées au fond des âmes. Eh bien, ça n’a aucune importance. Je suis passé devant un étang. Il était couvert de lentilles d’eau – ça oui, c’était important. »

Christian Bobin

Pour cette nouvelle année qui débute, j’aimerais me rappeler avec vous – et grâce à Christian Bobin ! –  du bleu du ciel, des perles que forme l’eau sur les lacs et des ailes des oiseaux qui percent de leur beauté soudaine notre quotidien. Combien il est facile de s’habituer, d’oublier ou de se languir… Le sacré est en nous et tout autour de nous, à chaque instant, chaque rencontre, chaque vol d’oiseau!

Je parle volontairement du sacré car c’est bien là, il me semble, le sujet du chapitre 1 de « L »homme-joie » : persister à croire qu’il est,  dans le cœur de l’être humain, dans la contemplation de la nature, dans l’abondance offerte par le vivant, une part d’inviolable à respecter sous peine de nous perdre… « Refuser de donner notre consentement » (cf Jacques Sémelin qui parle de Lévi-Strauss) à saccager ce dernier garde-fou de notre humanité est ce qu’il nous reste de plus noble et certainement de plus fort pour résister aux guerres, aux idéologies qui les sous-tendent et aux lobbys industriels, financiers et autres multinationales qui sont leurs armes.

C’est pourquoi je continuerai encore cette année, avec la persévérance des petits pas, de diffuser la philosophie de la non-violence et de donner la parole aux personnes merveilleuses et inspirantes qui essaient de la mettre en pratique.

Ce podcast a besoin de vous pour continuer à vivre! Si vous le souhaitez, vous pouvez faire un don en cliquant sur le lien suivant : https://www.helloasso.com/associations/non-violence-xxi/formulaires/3/widget

« Je ne veux pas laisser filer ce jour sans en donner le plus beau. Vous voyez le monde. Vous le voyez comme moi. Ce n’est qu’un champ de bataille. Des cavaliers noirs partout. Un bruit d’épées au fond des âmes. Eh bien, ça n’a aucune importance. Je suis passé devant un étang. Il était couvert de lentilles d’eau – ça oui, c’était important. »

Christian Bobin

Pour cette nouvelle année qui débute, j’aimerais me rappeler avec vous – et grâce à Christian Bobin ! –  du bleu du ciel, des perles que forme l’eau sur les lacs et des ailes des oiseaux qui percent de leur beauté soudaine notre quotidien. Combien il est facile de s’habituer, d’oublier ou de se languir… Le sacré est en nous et tout autour de nous, à chaque instant, chaque rencontre, chaque vol d’oiseau!

Je parle volontairement du sacré car c’est bien là, il me semble, le sujet du chapitre 1 de « L »homme-joie » : persister à croire qu’il est,  dans le cœur de l’être humain, dans la contemplation de la nature, dans l’abondance offerte par le vivant, une part d’inviolable à respecter sous peine de nous perdre… « Refuser de donner notre consentement » (cf Jacques Sémelin qui parle de Lévi-Strauss) à saccager ce dernier garde-fou de notre humanité est ce qu’il nous reste de plus noble et certainement de plus fort pour résister aux guerres, aux idéologies qui les sous-tendent et aux lobbys industriels, financiers et autres multinationales qui sont leurs armes.

C’est pourquoi je continuerai encore cette année, avec la persévérance des petits pas, de diffuser la philosophie de la non-violence et de donner la parole aux personnes merveilleuses et inspirantes qui essaient de la mettre en pratique.

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